Le carillon de la ville d'Ath est un instrument de 49 cloches, couvrant 4 octaves chromatiques et représentant une masse totale de bronze de 11 tonnes.
1952-1954 :
Fonderie Marcel MICHIELS Junior à Tournai
La0 ou A (= bourdon)
Mi1 à La4, c'est-à-dire e1 à a4
Si4, ou b4, cloche offerte en cadeau par le fondeur Michiels
1981 :
Fonderie PETIT & FRITSEN à Aarle-Rixtel aux Pays-Bas, repreneur de la fonderie de Tournai après le décès de Marcel Michiels Jr
Sib4, Do5, Do#5, c'est-à-dire bes4, c5, cis5
2000 :
Fonderie PETIT & FRITSEN
Ré5, Mib5, Mi5, c'est-à-dire d5, es5, e5
Ce sont les tons naturels des cloches. Les lettres indiquent les notes et, les numéros, la place de celles-ci dans leur octave respective, de la plus grave à la plus aiguë.
Le numéro d'octave change au Do supérieur.
Les fondeurs de cloches comptent les séries de cloches comme les visiteurs, de la plus grosse à la plus petite, - de 1 à 49 à Ath.
Ses ateliers étaient installés aux n° 51-53 du boulevard du Nord, derrière la gare de Tournai (aujourd'hui boulevard Eisenhower).
Archives de Jean-Claude Molle
A gauche Marcel Michiels Junior, le fondeur. Au centre Léo Van Rie, l'installateur de Quaregnon. A droite Géo Clément, le superviseur du projet, maître-carillonneur des villes de Tournai et Mons. Ils discutent dans la cour de la fonderie devant le camion des frères Carlier, chargé des 41 cloches destinées au carillon d'Ath.
Boulevard Eisenhower aujourd'hui.
Au cimetière de Rumillies, dans l'entité de Tournai.
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